20mars 2020

Municipales 2020 - TAE : bilan de campagne avant le vote, suite ...

Article du Ouest-France du 13 mars 2020 :

19mars 2020

Municipales 2020 - TAE : bilan de campagne avant le vote ...

Article du Courrier de l'Ouest du 12 mars 2020 ...

04mars 2020

Le projet de "Trélazéen-ne-s, Agissons Ensemble !" vu par la presse ... la suite !

Article du Courrier de l'Ouest du 03 mars 2020.

04mars 2020

Bilan des réunions publiques ...

Les 5 réunions publiques ont été l'occasion de riches échanges.

En tout, près de 320 personnes en débat citoyen convivial !
Quand les citoyens se réapproprient la politique ...

Le 11 mars 2020 : 120 personnes - salle de La Maraîchère -


Le 9 mars 2020 : 40 personnes - salle Bellevue (Les Plaines) -


Le 6 mars 2020 : 60 personnes - salle de l'école Aimé Césaire -


Le 4 mars 2020 : 60 personnes -centre Jean Guéguen -


Le 2 mars 2020 : 45 personnes - salle de l'école Robert Daguerre -

02mars 2020

Le projet de "Trélazéen-ne-s, Agissons Ensemble !" vu par la presse ...

Article du Courrier de l'Ouest du 02/03/2020.

28févr. 2020

Le projet de "Trélazéen-ne-s, Agissons Ensemble !", c'est par ici ...

Cliquez sur l'image pour télécharger le projet et le consulter.
Bonne lecture ...

28févr. 2020

Tract de présentation de la liste "Trélazéen-ne-s, Agissons Ensemble !"

Cliquez sur les images pour agrandir.


28févr. 2020

L'affiche de la liste "Trélazéen-ne-s, Agissons Ensemble !"

11févr. 2020

Infoville ...

Voici les articles prévus pour Infoville et qui ne seront pas publiés en raison des règles électorales. Ce numéro du bulletin municipal post "élections" devrait être le plus neutre possible, nous y veillerons !

Article de "La Gauche Trélazéenne" :

Les bugs du logiciel
événementiel et concurrentiel

La majorité municipale fait preuve de bien peu d’intérêt à l’égard du travail collectif et de l’investissement bénévole des élus.

Le 19 décembre dernier, lors de la commission consacrée aux subventions aux associations, nous sommes intervenus pour regretter que certaines demandes de subvention très modestes n’étaient pas honorées alors même que d’autres montants importants étaient, eux, accordés à l’appui de bilans d’activité tellement légers que la majorité, elle-même, reconnaissait la nécessité de disposer d’éléments supplémentaires.

Puisqu’une commission sert à cela, nous avons, de façon très constructive, formulé quelques propositions «raisonnables» ! Jugez-en par vous même : il s’agissait d’accorder le montant demandé par quelques associations, notamment humanitaires. Le total n’atteignait pas les 500 € !

Et bien, c’en était encore trop pour la majorité... qui a refusé.

Cette même majorité a, en revanche, voté comme un seul seul homme une subvention de 23 000 € pour un concert privé dans le cadre de l’inauguration de la halle de tennis. Une nouvelle preuve que cette logique de «ville événement» vampirise des moyens financiers colossaux qui seraient plus utiles ailleurs. Cette façon de fonctionner n’est plus possible !

Ce mode de fonctionnement de la «ville événement» basée sur la concurrence avec les autres communes de l’agglomération pousse à une fuite en avant avec laquelle il faut rompre. Il est urgent de changer de logiciel et de passer au mode «coopération», dans la ville et avec les autres collectivités.

Vos élu-e-s de «La Gauche Trélazéenne»
Boris Battais, Chantal Duffoui, Gilles Ernoult
www.lgt.lautre.net

Article de "Trélazé Citoyens Solidaires" :

A la fin de 25 années de mandat, la majorité laisse un endettement sans pareil suite à la construction de l'ARENA.
Et au cours de ces 6 dernières années il a fallu payer 12 Millions d'Euros pour renégocier un emprunt toxique de 3,5 Millions d'Euros.
Des signes de bonne gestion ?

En matière judiciaire, le tribunal administratif a annulé le budget 2015 suite à notre demande. Le tribunal administratif a été également saisi pour l'annulation d'avantages en nature que les élus de la majorité se sont attribuées illégalement, comme le Préfet l'a notifié par courrier au maire.
Un autre signe de bonne gestion ?

Au conseil municipal de février, le Maire a fait voter la prise en charge de la "soirée très privée" qui a coûté 23.000 Euros. Une dépense faite à l'occasion de l'inauguration d'une salle de raquettes... qui ne correspond pas aux besoins des associations de Trélazé.

Lors de la même séance du Conseil Municipal, la totalité des élus de la majorité a voté contre la demande faite par l'opposition d'augmenter les subventions aux associations de solidarité... de seulement 50 ou 100 Euros !

Ces quelques exemples signent comment la priorité événementielle revendiquée par la majorité s'exerce au détriment du bien commun.

Jean-François GARCIA & Pascal COUËDEL
http://trelazecitoyenssolidaires.over-blog.com/

07févr. 2020

Municipales 2020 : une charte pour l'écologie.

La liste "Trélazéen-nes, Agissons Ensemble !" propose la mise en place d'une charte pour l'écologie afin de développer une véritable politique de transition écologique et solidaire. Article du Courrier de l'Ouest du 06/02/2020.

06févr. 2020

Municipales 2020 : présentation de la liste ... suite !

Voici l'article paru le 05 février 2019 dans le Ouest-France.

04févr. 2020

Municipales 2020 : présentation de la liste

Présentation de la liste "Trélazéen-nes, Agissons Ensemble !" par le Courrier de l'Ouest du 03 février 2020.

03févr. 2020

Municipales 2020 : liste "Trélazéen-nes Agissons Ensemble"


17janv. 2020

Conseil municipal du 16 janvier 2020 : débat sur les subventions.


Au menu du conseil conseil municipal, les subventions aux associations.

Nous sommes intervenus pour avoir des éclaircissements légitimes sur plusieurs propositions de subventions, dont celle prévue pour l'ACMT. Face à la caricature de nos propos faite par M. Goua, vous trouverez ci-dessous l'intégralité de l'intervention faite par Boris Battais.

Texte de l'intervention sur la délibération n°11 :

Cela fait maintenant plusieurs fois que le sujet du financement de l’ACMT et de ses projets revient au CM. A chaque fois, nous avons souligné, les uns et les autres, notre volonté d’avoir, sur ce point, des débats les plus sereins qui soient.

Sur les questions touchant aux questions religieuses, nous évoquons fréquemment, nous tous, notre attachement républicain, aux valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ainsi que notre fidélité au principe de laïcité.

Comme nous l’avons déjà rappelé (et je crois qu’il faut le dire et le redire à l’heure où des responsables politiques d’extrême droite tordent et déforment la notion de laïcité pour en faire un instrument de haine notamment contre certaines religions dont l’islam), ce principe républicain n’est en rien un outil contre les religions.

En réalité, ce principe de laïcité renvoie le libre exercice des cultes et la libre expression d’une foi religieuse (ou d’un athéisme), de la sphère publique institutionnelle (qui est un lieu de décision politique devant rester neutre en matière de croyances personnelles) vers la sphère privée et la « société civile » (qui est un espace d’échanges entre des individus libres). Pour ce qui nous concerne, c’est avec cette approche que nous nous positionnons à chaque fois.

Je ne doute pas non plus que chacun d’entre nous soit attaché à ce qu’on appelle communément « la diversité » tant ses apports dans nos constructions personnelles, dans notre vie quotidienne, notamment ici à Trélazé, sont essentiels. Et bien entendu, dans le contexte que nous traversons, ces débats méritent particulièrement que nous prenions de la hauteur et ne tombions pas dans les caricatures néfastes à tous.

Personne, me semble-t-il, ne conteste donc ici le droit de l’association de se doter d’un équipement pour y mener ses activités culturelles ou même cultuelles. Personne ! Les questions et les débats que nous avons depuis 2018 sur ce sujet concernent donc essentiellement des éléments techniques et financiers ! Et nous comptons bien nous en tenir à cela.

De notre point de vue, les délibérations qui sont devant nous sont, dans ce cadre, la suite logique des débats que nous avons eus précédemment. Vous me permettrez donc de faire un bref retour en arrière.

En avril 2018, lorsque vous avez présenté la délibération pour la subvention de 300 000 €, nous vous avions fait part de notre volonté de disposer d’un plan de financement global du projet de construction (dont le montant global avoisinait alors 1 800 000 € d’après les élément du dossier). Vous nous aviez alors répondu que l’association n’était pas obligée de le faire et donc que cela n’avait pas été exigé par vous alorsmême qu’il s’agissait à nos yeux d’éléments techniques indispensables.

Nous nous demandions aussi déjà à l’époque comment l’association, avec un budget prévisionnel pour 2018 de 44.500€ (dont 30.000 € de la Ville en recettes d’après le budget prévisionnel pour 2018), pouvait financer un projet à hauteur de 1 800 000 € (même avec 300 000 € de subvention) ? Il nous paraissait aussi bien difficile d’imaginer que les adhérents déjà largement sollicités (de l’aveu même du Président – 540 000 €) puissent réunir le total des fonds nécessaires… De notre point de vue, il était donc indispensable d'avoir le plan de financement complet en amont, tout simplement pour savoir où nous allions, pour avoir une vision globale du projet.

Vous conviendrez que la question était alors pour le moins légitime dans la mesure où ni vous, ni nous, ni même l’association, ne souhaitaient que des « financements extérieurs » soient sollicités. Sans véritable réponse de votre part, nous nous interrogions alors sur la capacité à réaliser techniquement (financièrement) le projet, d’autant que vous aviez certifié au préalable que la participation de la Ville se limiterait aux 300 000 € (somme basée, nous aviez-vous dit alors, sur la base des locaux destinés aux activités culturelles).

Nous posions aussi la question de la capacité de l’association à faire face à l’automatique explosion de ses frais de fonctionnement avec ce nouvel équipement de plus de 1200 m² de plancher d’après le permis de construire 1. Encore une zone d’ombre à l’époque …

Bref, vous nous demandiez alors de voter les yeux fermés, sans perspectives techniques et financières claires.

Est ensuite venue, en mai 2019, la délibération relative à la garantie d’emprunt de l’association, emprunt à hauteur de 600 000 € sur une période de 10 ans, ce qui représente encore de sacrées dépenses annuelles pour elle. Cela n’a pas manqué non plus de nous interroger une nouvelle fois au sujet de sa capacité pour y faire face.

Nous avons donc aujourd’hui ces délibérations devant nous (la somme de la subvention ainsi que celle concernant la convention puisque la subvention proposée dépasse les 23 000 €).

Lors de la commission du 19 décembre dernier, de nombreux échanges ont eu lieu sur le sujet. A notamment alors été évoqué un budget prévisionnel à hauteur de 125 000 € (comprenant 90 000 € de subvention Ville demandés par l’association). Je ne doute bien sûr pas de la sincérité des responsables de l’association lorsqu’ils demandent une pareille subvention et j’imagine qu’elle doit permettre, pour eux, de couvrir des besoins et des frais importants (j’en parlais il y a un instant). Sur ces derniers, François Steinebach a donné quelques rapides éléments oraux lors de la commission mais nous aurions aimé (et cela avait été demandé !) qu’un état des lieux financier précis nous soit envoyé pour analyser attentivement et sereinement la situation.

Nous avons donc des interrogations et nous aimerions éviter de naviguer une nouvelle fois à vue. En fournissant 40 000 € de subventions à l’association, comment va-t-elle faire face à toutes ses dépenses ? Je pense que c’est aussi une question essentielle et légitime que se posent les membres de l’association... Car, il n’est pas nécessaire d’être très bon en mathématiques ou même en finances pour comprendre qu’il lui manquera 50 000 € (soit 40 % de son budget prévisionnel) pour équilibrer ses comptes.

22déc. 2019

Municipales 2020 : présentation de la liste "Trélazéen-ne-s Agissons Ensemble !"

Comme annoncé mi-novembre, les groupes "La Gauche Trélazéenne" et "Trélazé Citoyens Solidaires" ont décidé de travailler à proposer une alternative commune pour les prochaines élections municipales de Mars 2020. Ce rassemblement donne naissance à la liste "Trélazéen-ne-s Agissons Ensemble !" et a été présentée à la presse le 18 décembre 2019.
Voici l'article du Courrier de l'Ouest paru le 20 décembre 2019.

22déc. 2019

Budget 2020 ...

Voici l'article paru dans le OF du 20 décembre 2019 relatif au conseil municipal consacré au vote du budget 2020. Les élu-e-s de La Gauche Trélazéenne et de Trélazé Citoyens Solidaires ont voté contre.

19nov. 2019

Elections municipales de Mars 2020 : ça bouge à Trélazé !

Suite à la conférence de presse, voici l'article paru dans le Courrier de l'Ouest du 18/11/2019.

16nov. 2019

Elections municipales de Mars 2020

Conférence de presse LGT-TCS
16 novembre 2019

Les 15 et 22 mars prochains, les Trélazéen-ne-s seront amenés à élire leurs représentants au conseil municipal. Ils devront choisir l’équipe qui leur semblera la mieux placée pour répondre aux préoccupations de leur quotidien.
Conscients des enjeux «La Gauche Trélazéenne» et «Trélazé Citoyens Solidaires» ont pris l’initiative de défendre un projet commun. Initiative déjà rejointe par des personnalités diverses.
Notre engagement politique n’est pas guidé par des questions de personnes, des règlements de compte ou des petits calculs politiques.
Lors des rencontres que nous avons eues (LGT - TCS), nous avons dressé un constat simple et commun : celui de la nécessité de créer les conditions d’un large rassemblement à vocation majoritaire sur la base d’un projet commun permettant une rupture claire avec la politique menée par l’actuelle majorité municipale.
Nous considérons en effet qu’il est primordial et impératif de porter un projet rassembleur qui permette à chacun d’entre nous de s’y retrouver, un projet qui soit donc à la fois de gauche, écologiste et citoyen.
Aussi est-il nécessaire, avant toute chose, de parler ensemble de ce que nous voulons pour l’avenir de Trélazé ! C’est bien le sens des rencontres que nous avons déjà eues, ainsi que de la belle réunion publique du 13/11 qui a réuni 70-80 personnes.
Nous ne partons pas de rien. Engagés au quotidien sur notre ville, nous n’attendons pas les échéances électorales pour être en contact avec les Trélazéen-ne-s.
Porteurs des valeurs de solidarité, de citoyenneté et d'humanisme, les militants associatifs, culturels, sportifs, syndicalistes, écologistes, politiques, qui formaient nos listes respectives ont continué à s'impliquer, de manières diverses, dans la vie locale pour faire vivre et enrichir, pour les uns les 100 propositions pour une Ville citoyenne, solidaire et humaine portée par la LGT, pour les autres les propositions portées par TCS. Et globalement, ces propositions se recoupaient très souvent.
Mais, nous n’avons pas vocation, ni les uns ni les autres, à demeurer des oppositions, aussi critiques et constructives soient-elles. Nous avons la volonté et l’ambition de devenir la future majorité municipale et de mettre en œuvre le projet qui sera le nôtre !
Dans la lignée de ce que nous avons engagé depuis des années, il nous faut donc réfléchir bien en amont sur les contenus politiques qui méritent d’être portés en 2020 et de constituer les bases d’un renouveau politique pour la commune.
Les uns et les autres le disions déjà en 2014 : la démocratie locale, véritable pierre angulaire de nos projets, est au cœur de nos préoccupations. Il s’agit pour nous de rénover l’action publique par un fonctionnement municipal nouveau. Nous continuons de penser que, parce qu’ils sont les premiers concernés par l’élaboration et la mise en œuvre des projets, nos concitoyen-ne-s doivent être en mesure de s’impliquer, de donner leur avis et leur point de vue. Démocratie citoyenne, démocratie sociale et démocratie représentative, tels sont les trois piliers de la démocratie locale que nous voulons faire vivre à Trélazé.
Dans le domaine du sport, de la culture et des loisirs, la forme et la place du Festival et de l’Aréna sont fortement interrogées. Là aussi, nous ne nous retranchons pas dans une position uniquement protestataire et défensive. Nous devons clairement repenser Festival et l’événementiel dans le cadre d’une véritable politique culturelle pour notre Ville et ses habitants. Nous donnerons de nouvelles les ambitions les domaines du sport et des loisirs. Nous devrons enfin mettre sur pied un fonctionnement permettant aux associations, ces acteurs incontournables et essentiels de la vie locale, d’être écoutées et respectées, le tout sur la base d’un contrat démocratique renouvelé avec la Ville. La réactivation réelle de l’Office Municipal des Sports et la création d’un Office Municipal de la Culture (ou une structure commune) permettra de créer les conditions d’une véritable concertation.
L’urbanisme, quant à lui, couvre des domaines essentiels (développement de la Ville, aménagement de l’espace, organisation sociale, modes de transports, consommation d’énergie, production de déchets, etc.). Les participants à la réunion publique de mercredi soulignaient l’importance et le caractère central de la transition écologique pour tout ce qui se rapporte à ces thèmes.
Chaque année, les espaces urbains s’étalent. Mercredi soir, des participants s’interrogeaient sur le sens politique de cet étalement urbain à Trélazé (augmentation de l’assiette fiscale, développement des bases, poids démographique dans l’agglomération). Ils regrettaient que l’expansion et la concentration urbaines soient bien souvent synonymes de dégradation de la qualité de vie. Ils demandaient à structurer le débat, les réflexions et les choix politiques en terme d’urbanisme autour de questions simples : quel type de ville souhaitons-nous ? de quel cadre de vie rêvons-nous ? Quelle place devons-nous réserver aux espaces naturels et verts dans notre environnement proche ?
Bien sûr, dans le domaine, chacun a en tête l’aménagement de la Guérinière-Quantinière et son lot de densification maximale avec un bâti et une voirie qui occupent l’essentiel de l’espace. Il est urgent de rompre avec la logique à l’oeuvre et de favoriser une démarche visant au « bien-être » des habitants et donc basée sur une mixité sociale renforcée, la création concertée d’équipements utiles au quotidien des habitants comme une maison de quartier ou une structure socio-culturelle sur ce secteur. Là encore, la concertation sera au coeur des décisions à imaginer.
Ce bien-être pose aussi la question des mobilités et donc des transports. Des débats animent l’actualité locale depuis plusieurs années autour de la gratuité des transports publics. Certaines villes l’ont adoptée et nous avons tout intérêt à nous saisir de cette question pour en faire un des axes forts de notre programme dans une commune massivement touchée par le chômage. Dans l’immédiat, il convient de poursuivre ce qui est entamé pour exiger une tarification unique bus/TER, pour aboutir à la mise en place de lignes de bus moins centralisées sur Angers, etc.. Cette question des mobilités est fondamentale pour lutter contre l’isolement et pour tout ce qui touche à l’économie, à l’emploi. Tous ces points seront bien entendu à considérer à l’échelle de l’agglomération : qu’il s’agisse du logement social, de l’équilibre des équipements d'agglomération, de la proximité des services courants et des commerces, de la connexion et de place réservée aux modes de transports doux ...
Face au défi du devenir de la planète, le co-développement humain et durable est au coeur des choix que nous avons à faire. L’aspiration légitime des habitants à un cadre de vie plus humain, plus respectueux de l’environnement n’a cessé de croître. L’ambition de mieux vivre implique d’engager des efforts importants en matière d’écologie urbaine par une gestion des déchets, une politique de l’eau, une maîtrise des énergies et un aménagement des espaces naturels. La ville se doit tout mettre en œuvre pour favoriser de telles démarches et être exemplaire au niveau de ses propres équipements (isolation, production solaire...).
Ces exigences sont par exemple au coeur de notre réflexion sur le devenir du site ardoisier et notamment sur celui de La Porée
Enfin, nous sommes attachés à sortir d’un mode de fonctionnement de la ville basée sur la concurrence avec les autres communes de l’agglomération qui poussent à des aménagements anarchiques et coûteux. Il est urgent de changer de logiciel et de passer au mode « coopération ». Nous réfléchirons nos projets structurants avec les communes voisines, mais nous serons aussi porteurs de ces valeurs au sein d’ALM afin que, là aussi, les logiques de concurrence reculent.

08nov. 2019

Elections municipales de mars 2020.

Les 15 et 22 Mars prochains, vous serez amenés à élire vos représentants au conseil municipal. Vous devrez choisir l’équipe qui portera le projet qui réponde aux préoccupations de votre Quotidien.

Conscients des enjeux « La Gauche Trélazéenne » et « Trélazé Citoyens Solidaires » ont pris l’initiative de défendre un projet commun. Cette initiative de renouvellement de l'action municipale, attendue par beaucoup de trélazéennes et de trélazéens, est déjà rejointe par des personnalités diverses.

Pour aller plus en avant dans la construction de ce projet collectif,
une réunion publique commune est organisée :

  • le mercredi 13 novembre 2019
  • à 18h30
  • salle de la Maraîchère, rue Ludovic Ménard


06juil. 2019

Conseil municipal 24 juin 2019.

Comme vous pourrez le constater une nouvelle fois à la lecture de cet article, les élu-e-s de La Gauche Trélazéenne sont force de résistance et de propositions, au grand dam de certains élus de la majorité que cela semble agacer !

Article du Courrier de l'Ouest du 26 juin 2019.

A propos d'Angers Loire Métropole :


Voici la déclaration intégrale faite par Boris Battais :

Sans être naïfs sur la réalité des relations que peuvent entretenir les communes entre elles, nous nous positionnons ici fréquemment pour sortir des logiques de concurrence entre territoires et développer au contraire des relations basées sur la coopération. Vous savez aussi que, précisément sur la question d’ALM, nous dénonçons aussi souvent l’éloignement des centres de décision des citoyens comme un affaiblissement de la démocratie locale ainsi que « l’usine à gaz » que constituent les divers transferts de compétences et de moyens.

Concernant la délibération qui nous est ici proposée, le constat sans doute fait par chacun, c’est que le poids de la commune d’Angers sort ici renforcé par ce projet de composition du Conseil de communauté d’ALM pour 2020. Certes, depuis quelques années, des communes nouvelles ont été créées et il convient d’ajuster l’ensemble mais dans le projet proposé, la part d’Angers passe de 44 % à 48 % (soit +4%) quand celle des autres n’augmente que de 0,4 % au mieux, 0,2, voire 0,1 %.

De fait, nous assistons là à un renforcement de centralisation d’Angers et à une marginalisation accrue des autres communes, des communes périphériques qui ne doivent pas être considérées comme des « quartiers d’Angers ».

L’introduction de la délibération fait état de la circulaire du 27 février 2019. Dans cette dernière, la Direction générale des collectivités locales (DGCL) rappelle en effet les règles de répartition des sièges de conseillers communautaires dans les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre donc les communautés urbaines.

Le délai laissé (jusqu’au 31 août prochain) doit permettre de rechercher un accord local, de prendre en compte l’évolution des populations, la création de communes nouvelles par exemple. Cet assouplissement des règles de l’accord local est l’une des solutions avancées par la proposition de loi de Jean-Pierre Sueur qui visait en fait à remédier à “une sous-représentation souvent très sensible des communes de taille moyenne” dans les conseils communautaires. Or, je le répète, en l’état, la répartition prévue renforce essentiellement la représentation de la commune centrale.

Nous pensons qu’il est important de nous interroger sur les critères retenus pour établir ce projet de répartition. Nous n’avons pas les éléments du courrier du préfet en date du 18 avril dernier.

Il nous semble que le critère démographique ne peut être l’alpha et l’oméga dans la répartition des sièges, d’autant que la commune d’Angers représente certes grosso modo la moitié de la population d’ALM mais sa superficie, elle, ne couvre que 6,5 % de l’ensemble.

Nous pensons qu’il y a vraiment matière à s’interroger sur cette tendance à la centralisation, qui plus est lorsque nous avons en tête les compétences d’ALM (économie, environnement, solidarités,déplacements, voirie). Les inquiétudes qui ont jalonné l’actualité ces derniers mois sur les « fractures territoriales » (notamment autour des questions d’aménagement du territoire) devraient nous y inciter. La question de notre organisation collective pour faire vivre la démocratie locale et les logiques de coopération est un élément de la réponse que nous avons à apporter aux nombreuses attentes qui s’expriment dans notre société. La centralisation prévue ici nous semble constituer un mauvais signal.

A propos d'Arena Loire :

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